Nos Conversations Atypiques : Bilan

Nos Conversations Atypiques : Bilan

01.09.2020 Ils nous inspirent

Les trois conversations atypiques, opérées ces derniers mois, ont porté sur les grandes thématiques d’actualité dans le domaine de l’immobilier : Comment rester chez soi ? Comment vivre ensemble ? La bi-résidentialité : mythe ou réalité ?

Nous vous proposons de passer rapidement en revue les différentes interrogations, notions évoquées et de les revisionner pour comprendre les enjeux plus en détails.

« Rester chez soi », notre première Conversation Atypique, a mis en lumière le besoin d’un rapport au temps différent. A la fois celui d’accélerer, notamment dans la mise en oeuvre et l’étude des dynamiques de notre intérieur, sa réorganisation, pour qu’il nous ressemble davantage. Mais aussi le besoin de décélérer, avec un retour à la nature et au naturel, en termes de lumière et de matériaux. Nos trois experts, l’architecte et chroniqueuse TV Gaëlle Cuisy du cabinet GplusK Architectes, la décoratrice et chroniqueuse TV, Jessica Venancio échangent sur ce thème de « L’Habitat » avec notre fondateur et dirigeant du réseau Julien Haussy ici.

 

« Vivre ensemble », notre deuxième Conversation Atypique, a exploré la notion d’un nouvel imaginaire résidentiel, qui ne pose plus les zones urbaines comme centres névralgiques français, et déconstruit le mythe d’ascension sociale, de vie dynamique culturelle et nos besoins de proximité. Les zones péri-urbaines redorent leur blason, et nous nous tournons vers un nouveau rapport à l’espace, davantage partagé, ou ouverts sur des espaces plus verts. , c’est Guy Tapie, professeur et chercheur en sociologie, architecture et urbanisme, Nolwenn Malherbe, la directrice de l’agence ADEQUATION de Bordeaux et encore une fois notre fondateur et dirigeant du réseau, Julien Haussy qui explorent ces questionnements.

 

 

Dans « La vie en bi-résidence : entre mythe et réalité », la troisième conversation atypique, nous retrouvons ces mêmes intervenants ici qui mettent en exergue l’attrait de la bi-résidentialité : fournir aux citadins un nouveau terrain d’expression, une façon de construire un monde à soi. Elle déconstruit aussi le mythe d’un nouveau souffle économique, en évoquant le fait que ce mouvement fait aussi se rencontrer deux population très différentes, avec des attentes et des besoins tout aussi opposés… deux mondes qui s’affrontent ! Et comme le souligne Julien Haussy,  l’intégration ou la mutation doit être faite correctement,  en accord avec les collectivités locales… et respecter des modes de vie locaux et les traditions des habitants.

 

 

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