Maison des années 60 au potentiel rare quartier des Villas à la Meinau

Cette maison bi-famille des années 60, au charme singulier, déploie 242 m² (369 m² au sol). Le terrain, d’une superficie de 445 m², offre un environnement verdoyant autour de la bâtisse. Son architecture d’origine, son volume généreux et ses espaces extérieurs en font un bien idéal pour un projet de rénovation sur mesure.

Le rez-de-chaussée surélevé s’ouvre sur une entrée traversée par un bel escalier en bois massif. Une pièce indépendante, autrefois cabinet médical, crée un espace polyvalent. Une salle d’eau, une cuisine attenante à un cellier, une salle à manger lumineuse et indépendante, une chambre et une vaste double pièce de vie traversante Est-Ouest prolongée par une terrasse de 11 m² composent ce niveau.

L’étage reprend la même organisation, permettant d’imaginer une seconde habitation ou une redistribution contemporaine : pallier, salle de bains, cuisine avec cellier, salle à manger ouverte sur une terrasse de 11 m², chambre et double salon traversant. En sous-sol, deux caves, deux garages, une buanderie, une chaufferie et deux pièces aménagées ajoutent de précieuses surfaces annexes.

Les extérieurs profitent d’un jardin paisible, laissant envisager diverses possibilités d’aménagement. Les deux terrasses orientées Ouest accompagnent agréablement les fins de journée. Le quartier des Villas, recherché pour son atmosphère résidentielle, offre un accès rapide aux commerces, aux établissements scolaires et aux transports en commun situés à quelques minutes.

Cette maison atypique, dotée d’un fort potentiel et rare sur le secteur, invite à imaginer un lieu de vie contemporain, modulable et chaleureux. Une visite permet d’en saisir pleinement les volumes et les perspectives.

Certaines images illustrent des suggestions d’aménagement réalisées par une intelligence artificielle. L’ameublement et la décoration sont des projections non contractuelles.

Logement à consommation énergétique excessive. La loi impose que le niveau de performance énergétique du bien immobilier, actuellement de classe G, soit compris, à compter du 1er janvier 2028, entre la classe A et la classe E.